Madrid, le 15 décembre 2019 — Alors que la dernière année a connu les plus grandes mobilisations pour le climat dans le monde, avec l’une des plus importantes tenue au Québec, la société civile et la jeunesse québécoises à la 25e Conférence des parties (ou COP25) ont représenté les voix exprimées dans la rue pour exiger des actions sur la crise climatique.
Les peuples autochtones, la société civile, les jeunes, les syndicats et les États fédérés ont pris une place importante pendant la COP25 pour aider à faire avancer les dialogues dans un contexte où les Parties restaient campées dans leurs positions de défense du statu quo.
«Cette COP a laissé tomber les populations. Ces négociations climatiques devaient mener à des engagements renouvelés, à des cibles plus ambitieuses et à un financement pour les pays les plus vulnérables qui vivent déjà les conséquences de la crise climatique. Les négociateur·trice·s devaient proposer des règles robustes sur les marchés du carbone pour assurer la mise en oeuvre de l’Accord de Paris en respect des droits humaines et des droits des peuples autochtones.
Mais il·elle·s ont échoué. Sur tous les aspects importants, les négociations ont failli à leurs obligations envers des millions de personnes partout dans le monde qui exigeaient une réelle justice climatique. À cette COP, les plus grands pollueurs et les pays avec la plus grande responsabilité historique ont pu mettre de l’avant leurs agendas politiques individuels au lieu de protéger notre avenir collectif – tandis que ceux·celles qui demandaient une plus grande justice ont été ignoré·e·s et physiquement écarté·e·s des négociations.» — Cat Abreu, Directrice générale, Réseau action climat Canada
Les droits humains et les droits des peuples autochtones ont été au coeur des demandes répétées de la société civile, ainsi qu’un cadre pour assurer une transition juste pour les travailleur·euse·s affecté·e·s par la décarbonisation de nos sociétés. La société civile s’est battue jusqu’aux dernières heures des négociations afin que ces éléments soient inclus dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris, et nous sommes accablé·e·s qu’ils n’y figurent pas dans les plus récents textes négociés. Nous devrons continuer le travail de retour au Québec et au Canada.
«On approche un point de bascule. Plus la mobilisation climatique gagne du terrain, plus ceux·celles qui bénéficient du système actuel d’exploitation d’énergies fossiles résistent. C’est un signe qu’on est en train de gagner. Il·elle·s ont réussi à ralentir le progrès ici à la COP, mais la transition énergétique est inévitable. Il faut continuer la pression chez nous. Nous espérons que le gouvernement du Québec saisira les opportunités que sont le Projet de loi 44 et le Plan d’électrification et de changements climatiques (PECC) pour augmenter son ambition climatique.» — Caroline Brouillette, Experte en changements climatiques, Équiterre
«Notre avenir est véritablement menacé. Nous n’avons d’autre choix que de tenter toutes les voies possibles, que ce soit devant les tribunaux – avec une poursuite climatique contre le Canada, dans la rue, dans des projets locaux ou dans l’élaboration des plans gouvernementaux – dont le Plan d’électrification et de changements climatiques (PECC). Sur une planète où la température globale se réchauffe de seulement 1,5°C, les impacts sont effrayants. Il faut agir maintenant, en respect des droits humains, des jeunes générations et celles à venir, en plus de garantir les droits des peuples autochtones.» — Catherine Gauthier, Directrice générale, au nom de la délégation d’ENvironnement JEUnesse
«Nous constatons une fois de plus le manque d’ambition des États à répondre à l’urgence climatique. La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), demande à ce que la voix de milliards de personnes soit entendue. Nous ne pourrons pas régler cette crise climatique en la transformant en crise sociale. Nous exigeons un cadre robuste dans lequel la transition juste pourra s’opérer. Les travailleurs et travailleuses, ainsi que leur communauté doivent être au cœur des solutions. Seul un dialogue social où chacun a une voix égale nous permettra de sortir de cette crise. Bien que les États aient manqué de répondre à l’appel, la FTQ se joint à toutes les composantes de la société civile pour mettre en œuvre une véritable transition énergétique. Ce que nous voulons, c’est une transition juste et il n’y aura pas de transition juste sans les travailleurs et travailleuses.» — Denis Bolduc, secrétaire général de la FTQ
«Les gouvernements et les provinces qui n’agissent pas de façon décisive privent nos enfants du droit à un avenir sain. Nous n’avons plus de temps à perdre. La réponse à cette urgence climatique commence maintenant, dans nos foyers et nos communautés. La société civile devra prendre les devants.» —Diego Creimer, porte-parole de la Fondation David Suzuki
«Si le monde entier fait l’expérience directe d’un monde qui se réchauffe et que la science est claire sur les impacts de l’inertie, la lenteur des négociations tenues à la COP25 témoigne du fait que les gouvernements ne sont pas encore à la hauteur de la crise. À la COP comme dans la rue, ce sont les groupes autochtones et la société civile qui continuent de se mobiliser sans relâche pour exiger le respect de la science, l’adoption de lois innovantes et ambitieuses qui nous amènent vers la carboneutralité, vers un monde plus sain et équitable. Et le message est clair: l’échec n’est pas une option, nous n’arrêterons pas tant que nos gouvernements n’agiront pas de manière responsable et pragmatique.» — André-Yanne Parent, directrice générale du Projet de la réalité climatique Canada
– 30 –
À propos du Réseau action climat Canada
ENvironnement JEUnesse, Équiterre, la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ) par l’entremise du Congrès du travail du Canada, le Projet de la réalité climatique Canada et la Fondation David Suzuki sont des organisations membres du Réseau action climat Canada.
Le Réseau action climat Canada est la plus importante coalition d’organisations qui travaillent sur les questions en matière d’énergie et de créations des politiques de lutte aux changements climatiques. Le réseau représente un regroupement de plus de 100 organisations à travers le Canada. Le réseau est composé de groupes environnementaux, de syndicats, de membres des peuples autochtones, des groupes spécialisés dans la coopération internationale et la lutte des droits et la justice sociale, des groupes religieux, des organismes communautaires et locaux et des organisations offrant des services en matière de santé et de services sociaux.
Fiche d'information sur la COP25Catherine Gauthier
Directrice générale | ENvironnement JEUnesse
catherine.cgauthier@gmail.com | Whatsapp: 1 514 377 3114
Jusqu’au 15 décembre 2019 à 6 h : +34 634 868 959
À compter du 15 décembre 2019 à 18 h 30 : 1 514 377 3114
Courtney Mullins
Chargée des communications | Équiterre
cmullins@equiterre.org | Whatsapp : 1 514 293 2370
Jusqu’au 14 décembre 2019 à 10 h : 1 514 293 2370
À compter du 14 décembre 2019 à 18 h : 514 293 2370
Jean Laverdière
Directeur des communications | Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ)
jlaverdiere@ftq.qc.ca | 514 893 7809
Diego Creimer
Responsable, affaires publiques et communications | Fondation David Suzuki
dcreimer@davidsuzuki.org | 514 999 6743
André-Yanne Parent
Directrice générale | Projet de la réalité climatique Canada
ayparent@climatereality.ca | C: 438-933-4898 | T: 514-871-8845
Cat Abreu
Directrice générale | Réseau action climat Canada
catherineabreu@climateactionnetwork.ca | 1 902 412 8953
Crédit photo: David Tong / @davidxvx sur Instagram et Twitter
Caroline Hervochon (pronom: elle)
Coordonnatrice aux communications
caroline@enjeu.qc.ca |
Détentrice d’une Maîtrise en Administration des Activités Culturelles, Caroline a travaillé plusieurs années au carrefour de la culture, des arts numériques, du social et de l’éducation en France et au Canada. Son parcours éclectique lui a permis de développer plusieurs cordes à son arc alliant communication, coordination et médiation, et de mettre sa créativité au service de projets innovants et porteurs de sens.
Sensible aux enjeux sociétaux, Caroline a travaillé auprès de publics variés et a participé, entre autres, au développement de projets scolaires, d’insertion sociale ou encore d’agriculture urbaine. Dans les actions qu’elle met en place, elle s’attache à développer une approche ludique et pédagogique au cœur de sa communication, pour transmettre, vulgariser et sensibiliser.
Engagée et ouverte sur le monde, Caroline a à cœur de créer des liens, faire bouger les consciences et contribuer à une société plus écocitoyenne. En janvier 2022, elle rejoint l’équipe d’ENvironnement JEUnesse à titre de Coordonnatrice aux communications, avec la forte envie de porter la voix de l’engagement citoyen et de susciter l’action collective.
Clémentine Creach (pronom: elle)
Coordonnatrice des programmes éducatifs
clementine@enjeu.qc.ca | 514-252-3016
Passionnée par la francophonie et les enjeux qui gravitent autour des questions de développement identitaire, Clémentine a travaillé pendant plusieurs années dans le milieu éducatif et communautaire en Colombie-Britannique. Elle s’est notamment intéressée de près aux défis linguistiques des communautés francophones en contexte minoritaire et a ainsi pu bâtir une expertise solide sur le concept de sécurité linguistique qui est un enjeu sur lequel elle reste encore aujourd’hui très engagée.
Titulaire d’une maîtrise en éducation, Clémentine a travaillé au contact d’un public varié d’abord en tant qu’enseignante puis en s’orientant dans le milieu des OBNL. C’est dans ce contexte qu’elle a pu entre autres mettre en place des projets en mobilisation jeunesse autour de l’engagement communautaire et citoyen mais aussi favoriser l’avancement de certains enjeux éducatifs.
Curieuse et engagée, Clémentine aime avant tout tisser des liens et développer de nouveaux partenariats. C’est avec cette volonté collaborative et rassembleuse qu’elle a rejoint l’équipe d’ENvironnement JEUnesse en décembre 2022 à titre de coordonnatrice des programmes éducatifs.
Isabelle Briottet (pronom: elle)
Chargée en projet en environnement
isabelle@enjeu.qc.ca | 514-252-3016
Isabelle a fait des études en coopération internationale et droit humain, ce qui l’a amenée à travailler dans des organismes où elle a acquis une grande expérience en coordination et en gestion de projet. Ces dernières années, elle a également évolué dans le domaine de l’éducation et du renforcement des capacités afin d’outiller les individus et les organismes vers une transition socio-écologique porteuse de justice sociale. Des projets de parcours d’ateliers ou de mentorat ayant pour but de susciter l’engagement et l’implication des élèves et des jeunes l’ont notamment amenée à collaborer avec des personnes issues du milieu scolaire et de la communauté collégiale.
Passionnée et fortement investie, elle adopte une perspective transversale, inclusive et profondément bienveillante dans ce qu’elle entreprend. Chez ENvironnement JEUnesse, Isabelle occupe le poste de Chargée de projets en environnement.
Julie-Christine Martin (pronom: elle)
Chargée de projet en environnement
julie@enjeu.qc.ca | 514-252-3016, poste 226
Julie-Christine Martin obtient son baccalauréat en sciences biologiques à l’Université de Montréal en 2016. Passionnée de la nature et des sciences depuis son enfance, c’est en janvier 2017 qu’elle découvre le milieu de l’éducation environnementale. Depuis, elle a travaillé dans des OBNL à créer et animer des activités scientifiques et des formations auprès de divers publics, notamment des jeunes autochtones et allochtones ainsi que des organismes environnementaux.
Depuis 2020, Julie-Christine siège sur le conseil d’administration de Mikana, organisme autochtone ayant pour mission de sensibiliser différents publics sur les réalités et perspectives des peuples autochtones. Elle s’implique aussi bénévolement dans différentes initiatives: un projet de place publique éphémère pour revitaliser son quartier, du mentorat avec l’organisme Fusion Jeunesse et l’évaluation de futurs chiens d’assistance psychologique avec Les chiens Togo.
Chez ENvironnement JEUnesse, Julie-Christine occupe le poste de chargée de projet en environnement. Son ouverture sur l’autre, sa connaissance du milieu scolaire ainsi que ses talents pour l’organisation d’événements seront mis à contribution alors qu’elle soutiendra les membres des programmes d’accompagnement et de certification dans leurs démarches.
Élise Guerrero (pronom: elle)
Agente de projet en mobilisation
elise@enjeu.qc.ca | 514-252-3016, poste 224
Élise Guerrero détient un baccalauréat en sciences agroenvironnementales avec un profil transdisciplinaire. Impliquée dans le milieu de l’agriculture urbaine et de l’environnement depuis qu’elle est toute jeune, elle s’applique à régénérer les liens entre l’humain et la nature par l’éducation et la vulgarisation scientifique.
Elle a fait partie de la cohorte 2020-2021 du programme Jeunes leaders pour l’environnement d’ENvironnement JEUnesse et a coordonné le Club de Permaculture de McGill (Université McGill). Elle s’implique bénévolement pour plusieurs organisations et, en 2021, elle rejoint l’équipe de la Vague écologiste au municipal. Professionnellement, elle se spécialise en vulgarisation scientifique par son implication au sein du réseau Technosciences et des Expo-sciences, au Jardin botanique de Montréal et à d’autres occasions. Les villes actives, l’accessibilité universelle et la justice sociale sont quelques-uns des thèmes qui l’animent.
Chez ENvironnement JEUnesse, Élise occupe le poste d’agente de projet en mobilisation.
Sarah-Katherine Lutz (pronom: elle)
Directrice générale
sarah@enjeu.qc.ca | 514-252-3016, poste 228
Sarah-Katherine Lutz a travaillé plusieurs années dans le milieu culturel, où elle a notamment acquis une grande compréhension du milieu scolaire et des défis auxquels il fait face en développant des activités et des programmes à l’intention du milieu de l’éducation. Elle a entre autres participé à la mise sur pied d’Hémisphères, un réseau d’écoles primaires et secondaires qui placent la culture au cœur de leur quotidien.
Formée en scénographie et en design d’événements, elle met sa créativité à contribution afin de favoriser la cohérence entre les initiatives existantes et de concrétiser les nouvelles idées. Plus que tout, Sarah est une fille d’équipe qui aime collaborer pour déployer des projets innovants.
Sarah-Katherine a joint l’équipe d’ENvironnement JEUnesse en 2021 à titre de coordonnatrice des programmes éducatifs et occupe le poste de directrice générale depuis octobre 2022.
Marianne Renauld Robitaille (pronom: elle)
Agente de projet en mobilisation
marianne@enjeu.qc.ca | 514-252-3016, poste 223
Détentrice d’une maîtrise en études politiques appliquées et environnement de l’Université de Sherbrooke, Marianne est passionnée par l’action climatique, tant au niveau local qu’international. Elle utilise ses capacités d’analyse et de vulgarisation scientifique pour renforcer la capacité d’agir de ses pairs.
Engagée dans son milieu depuis quelques années, Marianne a développé une bonne connaissance des principaux groupes engagés dans la lutte aux changements climatiques, la transition socio-écologique et la protection des milieux naturels. Marianne fait d’ailleurs partie de l’initiative des 50 jeunes engagés pour le climat (50JEC), qui vise à mieux intégrer la science à la prise de décision politique en matière de lutte aux changements climatiques, un sujet qui lui tient à cœur.
Marianne a également fait partie de la cohorte 2020-2021 de jeunes leaders pour l’environnement d’ENvironnement JEUnesse, et est ravie d’avoir intégré l’équipe à titre d’agente de projet en mobilisation pour susciter l’action politique et plus de justice climatique.
Sandrine Bourassa (pronom: elle)
Agente de soutien aux programmes
sandrine@enjeu.qc.ca | 514-252-3016
Sandrine est détentrice d’un baccalauréat en science politique de l’Université du Québec à Chicoutimi depuis 2018. À la suite de ses études, elle a cumulé deux ans d’expérience à titre d’attachée politique dans un bureau de circonscription fédéral, où elle était responsable de la gestion des dossiers citoyens, des communications et des envois collectifs.
Passionnée par plusieurs sujets, dont la lutte aux changements climatiques, les enjeux d’autonomie alimentaires et la transition énergétique de nos sociétés, elle décide de quitter sa région natale pour se doter d’une spécialisation de 2e cycle en gestion de l’environnement à l’Université de Sherbrooke. Jusqu’à maintenant, cette réorientation lui a permis de s’engager bénévolement dans l’organisation du colloque annuel en environnement de son association étudiante, ainsi que de faire partie de la délégation étudiante de l’Université de Sherbrooke à la 27e conférence des parties (CdP-27) sur le climat en Égypte.
Sandrine est très enthousiaste de joindre l’équipe d’ENvironnement JEUnesse à titre d’agente de soutien aux programmes pour la période estivale.
Geneviève Albert (pronom: elle)
Animatrice et conférencière en environnement
genevieve@incita.ca | 438-862-7949
Diplômée de l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal, Geneviève est conseillère et animatrice en environnement depuis une dizaine d’années. Elle porte un intérêt particulier à la gestion des matières résiduelles et se spécialise également dans la fabrication de cosmétiques et de produits ménagers naturels. Coordonnatrice de l’Éco-quartier de Parc-Extension pendant plusieurs années, elle a développé une forte expertise en sensibilisation environnementale citoyenne et en intervention interculturelle.
Depuis 2019, elle collabore avec la coopérative Incita à plusieurs projets en milieux de travail et académiques : réalisation de caractérisations des matières résiduelles, mise en place de comités environnementaux, création de plans d’action zéro déchet et animation de différents ateliers en environnement.
Avec ENvironnement JEUnesse, elle collabore au programme Jeunes leaders pour l’environnement, notamment en animant et en coordonnant les activités de la cohorte 2021-2022.
Catherine Gauthier (pronom: elle)
Directrice générale
cgauthier@enjeu.qc.ca | 514-377-3114
Catherine Gauthier est directrice générale d’ENvironnement JEUnesse depuis 2016 et elle est titulaire d’une maîtrise en droit international et politique internationale. En 2018, elle a lancé une action collective au nom de toutes et tous les jeunes du Québec de 35 ans et moins contre le gouvernement du Canada. L’objectif principal de cette poursuite est d’amener le gouvernement canadien à respecter les droits fondamentaux des jeunes et à agir pour contrer la crise climatique.
Engagée sur les plans environnemental et social depuis l’âge de 15 ans, Catherine Gauthier possède une feuille de route hors du commun. Dès 2005, à l’âge de 16 ans, elle monte à la tribune pour s’adresser aux quelque 10 000 personnes déléguées de la 11e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), en tant que membre de la délégation du gouvernement du Canada. Invitée à prononcer un discours à l’Assemblée générale de l’ONU deux ans plus tard, elle prendra part à plus d’une dizaine de conférences des parties par la suite.
Catherine Gauthier a aussi conçu et animé des séminaires à l’Université de Sherbrooke sur la politique climatique internationale. Elle est régulièrement appelée à agir sur des groupes de travail en lien avec les changements climatiques, la transition juste et équitable, l’environnement, la jeunesse et l’équité intergénérationnelle. Elle a d’ailleurs coordonné les travaux du groupe de travail jeunesse pour l’élaboration du Plan pour une économie verte du Québec. Végétarienne et tenante de l’agriculture biologique et locale, Catherine Gauthier pratique ce qu’elle prêche avec grand enthousiasme, notamment en se déplaçant à vélo 4 saisons.